Extrait des Annales de la Société des Sciences Naturelles et d’Archéologie de Toulon et du Var — 1977
Sondages Archéologiques au lieu-dit « La Tour »
Commune de TARADEAU (Var) (Année 1977) Par HENRI RIBOT, Correspondant de la Direction des Antiquités historiques de Côte d’Azur
NOTICE HISTORIQUE
La vallée permienne s’ouvrant entre les massifs cristallins des Maures et le rebord des plateaux calcaires de Provence constitue une dépression propice à l’agriculture et une voie naturelle reliant Fréjus à Aix. La vallée de la Florieye, dont Taradeau tient la clef,permet, avec ses nombreux vallons, la pénétration vers l’arrière-pays et fait de cette zone un carrefour. Les hommes ont de tout temps laissé leur empreinte sur cette terre très riche : pointes de flèches, éclats de rhyolite, haches de pierre polie, objets en bronze, monnaies massaliètes, fibules, occupation d’oppida à l’âge du fer, vestiges gallo-romains nombreux et dispersés. Lors du creusement d’une fosse près de la chapelle de SAINT-MARTIN, deux nécropoles furent mises au jour, l’une gallo-romaine, l’autre mérovingienne. Il est difficile de définir l’époque durant laquelle apparaît pour la première fois la mention de TARADEAU dans l’histoire. En 1020 et 1131, une charte et un acte mentionnent des témoins portant ce nom, mais il faut attendre 1143, pour qu’une bulle du Pape cite l’église de Saint-Martin de Taradul et la paroisse de son castrum qui dépendent toutes deux de l’abbaye de Saint-André-lès-Avignon. A partir de cette date, le terroir est divisé entre divers coseigneurs tant laïcs qu’ecclésiastiques. Lé Comte de Provence y perçoit des droits et y compte des hommes, tandis que la communauté doit lui fournir pour la cavalcade un chevalier avec un cheval désarmé (1252). En 1316 Ta radeau est affouagé pour 55 feux de queste, mais se trouve classé parmi les lieux inhabités lors de l’affouagement de 1400. Cette dépopulation fait suite aux ravages des guerres civiles de la fin du XIV1‘ siècle au cours desquelles le village eut à subir les assauts des troupes de Raymond de Turenne. Les survivants se réfugièrent dans les communes voisines, celle des Arcs en particulier.
ETUDE DU CASTRUM ET DE SA DEFENSE
(Planche 1 a)
1. — Le castrum occupe le sommet d’une colline peu élevée située en contrebas et au sud de l’oppidum du Fort. L’enceinte épouse les contours de la colline et ferme une ellipse irrégulière dont le plus grand axe est orienté d’Est en Ouest. Une ancienne voie longe le flanc nord du castrum ; elle relie par les sommets la ville de LORGUES à celle des ARCS. La partie orientale de l’ensemble, étroite et élevée, a été fortifiée indépendamment du reste. La partie occidentale, plus basse, plus large et plus accessible, comporte des aménagements urbains dont le plan nous échappe. Nous supposons cependant que l’implantation de l’habitat doit suivre les courbes de niveau. Le castrum est protégé à l’est et au sud par des falaises. En revanche, les côtés nord et ouest dépourvus de toute protection naturelle demandaient la mise en place d’ouvrages défensifs complexes.
2. — Les enceintes : elles sont au moins au nombre de trois. Celle de la partie haute enserre une étroite plate-forme qui porte une tour à bossages, une chapelle romane, l’ancien cimetière communal (XVIII » siècle) et un édifice dont l’utilisation nous est inconnue. Cette plate-forme sert d’assise à un rempart dont l’épaisseur varie de 1 mètre à 1,20 mètre, en bel appareil composé de moellons parallélépipédiques liés au mortier de chaux. L’érosion progressive du banc de grès et le percement de nouvelles voies d’accès à la chapelle ont entraîné la disparition quasi-totale de cette enceinte. Cette partie du castrum a également livré les vestiges d’une deuxième enceinte vraisemblablement contemporaine de la première. Elle commandait un col que franchissait l’ancienne voie de Lorgues aux Arcs. Une crapaudine et une salle voûtée lui sont rattachées. Il est probable que nous sommes en présence de la muraille d’une basse-cour. Durant la dernière période d’occupation, l’agglomération, qui s’étendait sur le versant occidental et formait la partie basse, s’enferme dans les murs de la troisième enceinte, actuellement longée par la route conduisant de TARADEAU à DRAGUIGNAN. Bâtie plus tardivement que les autres, elle n’en offre pas la même régularité d’appareil. Des parpaings provenant du démantèlement d’une partie de l’habitat antérieur furent utilisés lors de son édification. La mise au point d’un plan d’ensemble permettra de saisir les articulations existant entre ces différentes enceintes. 3. — Les accès : En son état final, l’agglomération possédait deux grands axes de pénétration : l’ancienne voie en provenance des Arcs qui l’atteignait par l’est et celle qui, de Lorgues par la Florieye, longeait les remparts au nord.
LE SONDAGE I : 1. — Situation : Au nord du nouveau cimetière, de l’autre côté de la route, les bulldozers avaient entamé il y a quelques an troupes de Raymond de Turenne. Les survivants se réfugièrent dans les communes voisines, celle des Arcs en particulier. LE SONDAGE I :
1. — Situation : Au nord du nouveau cimetière, de l’autre côté de la route, les bulldozers avaient entamé il y a quelques années une restanque. Dans la tranche de terrain ainsi mise au jour, nous avons découvert des traces significatives d’habitat médiéval. La fouille débuta à la fin du mois de janvier 1977. La proximité de la route et notre travail épisodique (une à deux journées par mois) nous incitèrent à ne pas donner à ce sondage une importance trop grande. Le carroyage souple que nous avions adopté pouvait s’enlever aisément. 2. — Résultats : Malgré le peu de surface prospectée et l’arrêt momentané de la fouille, nous pouvons provisoirement conclure que, lors de la période d’occupation du castrum, un petit bâtiment s’élevait à l’emplacement du sondage. Son existence est prouvée par la présence de murs et de nombreux fragments de céramique commune ou d’importation. Il est difficile, avec très peu de données, de connaître quelle en était l’utilisation ; s’agissait-il d’un bâtiment servant à l’exploitation des terres ou bien d’un peint d’appui extérieur pour la défense du village ? Ultérieurement, l’édifice fut abandonné en même temps que le castrum, un remblai le recouvrit, qui servit à asseoir une restanque.
LE SONDAGE II : 1. — Situation : Le sondage est implanté sur les ruines d’une case effondrée dont la position en avant des défenses avait motivé le choix. Etait-ce un poste avancé des fortifications du castrum ? La fouille est encore muette sur ce point. 2. — Les résultats : La fouille n’a pu être menée à son terme que sur quelques mètres carrés. Des conclusions peuvent cependant être dégagées.
Les murs présentent des traces très nettes de remaniement. L’ancienne construction devait être une grande salle voûtée qui se prolonge bien au-delà des limites du sondage. Entre le sol de cette salle et les murs de la partie remaniée, on observe la présence d’une couche de destruction composée de lits de cendres et de tuiles alternés. L’obturation d’une porte., la construction de murs et les modifications de l’ensemble de la pièce indiquent un deuxième niveau d’occupation bien attesté. LE SONDAGE III : (Planches I a et II)
1. — Situation : Dans l’ensemble de la fouille, le sondage III occupe une place privilégiée. Situé dans la partie la plus élevée du site, il est à proximité immédiate d’édifices médiévaux encore debout : la tour de bossage et la chapelle romane. Mais ce voisinage pesé pour les vestiges exhumés un problème majeur quant à la compréhension de l’aménagement de la plate-forme et de l’agglomération. Dès la première mise en place du sondage, nous avons été frappés par la présence, dans un espace réduit, de traces de murs fortement arasés qui composaient un ensemble architectural dont l’orientation par rapport à la chapelle était aberrante. Cette orientation laissait supposer que nous nous trouvions en présence d’au moins deux états de la construction. Quelle était la disposition initiale des lieux avant la fouille ? La plate-forme, relativement large dans sa partie occidentale portant le cimetière et la tour, va se rétrécissant vers l’est, au point que son extrémité correspond au seul chevet de la chapelle. Une falaise composée de deux bancs de grès supportait autrefois un rempart dont l’unique vestige est un pan de mur que l’on peut voir au sud de la chapelle. Avec ses 63 mètres carrés, le sondage était important et, très vite, il nous fut nécessaire d’opter pour la fouille complète d’un secteur NIA incluant l’espace compris entre les murs dont l’arasement apparaissait en surface. 2. — Les résultats :
A. — L’évolution des structures : — Le bâtiment primitif avait approximativement la forme d’un parallélogramme rectangle. Trois de ses murs ont été mis au jour (murs 1, 2 et 5 de la planche n » 1). Le mur 1 présente un bel appareil régulier composé de moellons parallélépipédiques jointes avec un mortier de chaux gris blanc. Il est formé d’un double pare ment et d’un blocage interne de mortier et de cailloux mêlés. Le rocher, qui, nivelé, donne le sol de la case, sert également d’assise au mur. Dans sa partie nord, le mur 1 devait autrefois s’appuyer au rempart, mais ce dernier a disparu, entraîné par son propre poids dans la pente. Il n’en reste que quelques pierres d’assise. Au sud., les murs 1 et 2 sont étroitement imbriqués. Le mur 2 a été dégagé sur une longueur de trois mètres, mais il est certainement beaucoup plus long. Dans l’édifice primitif, il était parallèle au rempart et à la falaise (mur 5) et perpendiculaire au mur 1. Un seuil large d’un mètre quarante s’ouvre dans sa partie sud-est ; la première marche de l’escalier a été taillée dans l’épaisseur du parement interne. Ce mur ne se distingue du mur 1 que par l’absence de blocage entre les deux parents. Composé de quatre marches dont deux taillées dans le rocher du substrat, l’escalier donne accès au sol primitif ‘surface 6) ; son état de conservation est très mauvais, et il est bien malaisé aujourd’hui de reconnaître sa structure initiale. La découverte du mur 5, fondé sur la falaise nord, a confirmé l’existence d’un rempart parallèle au mur 2. Son épaisseur était d’un mètre, mais il n’en reste que peu de traces, aussi faudra-t-il attendre une fouille future pour l’observer sur une plus grande longueur. Ce mur était percé d’un drain permettant l’évacuation des eaux de ruissellement que le grès, imperméable, a tendance à retenir. Une voûte couvrait le tout ; elle devait être parallèle aux murs nord et sud sur lesquels elle s’appuyait. Sur cette voûte reposait une toiture de tuiles rondes.
— Un seul niveau archéologique ayant été trouvé en place, nous ne pouvons préciser actuellement quelle a été la date d’édification de ce bâtiment ; cependant, sa position par rapport à la chapelle romane laisse supposer qu’il peut lui être antérieur. La dé couverte d’un important matériel du XIVL‘ siècle prouve une occupation durant la dernière période de fonctionnement du castrum. Les travaux à venir devront s’attacher à établir la relation qui a existé entre la chapelle et cet édifice en sondant l’espace compris entre les carrés Dl à FI et D2 à F2 (planche 1). — Les murs d’une écurie des XVIII’ et XIX » siècle ont été reconnus/’; il s’agit des murs 1 et 2 déjà décrits, mais rétrécis de 50 cm en épaisseur, et des murs de refend 3 et 3a, ainsi que du mur 4. Le mur 3a pourrait n’être que le support d’une mangeoire. Les murs rajoutés à cette époque présentent de nombreuses similitudes : ils s’appuient sur l’éboulis dû à la destruction du bâtiment médiéval. Leur appareil n’offre pas la belle régularité de celui des murs antérieurs car le choix des moellons semble laissé au hasard et le mortier est loin d’être économisé. — A une époque plus récente, avant 1914, cette écurie disparaît. Son emplacement est nivelé et tout ce qui présente des creux est comblé avec de la terre rapportée du cimetière que l’on agrandit ou réorganise. 6. — Conclusion :
Ce sondage mérite toute notre attention. Une petite partie a été dégagée et de nombreuses questions restent sans réponse. L’avenir nous dira quelle était l’utilité de cet édifice dont la présence dans la partie haute du castrum, à proximité de la tour et de la chapelle, n’est pas sans évoquer une demeure seigneuriale. LE SONDAGE IV :
1. — Situation et description du sondage : Installé dans la partie basse du castrum, ce sondage de 56 mètres carrés s’appuis contre un mur de case encore bien conservé en élévation. Après débroussaillement, la surface se présentait sous l’aspect d’un éboulis de pierres. Le mur nord a été mis au jour dans sa partie orientale. Il est monté avec des moellons liés à la chaux et présente un fort remaniement. Dans le mur sud, un escalier large de 1,05 mètres, permettait d’accéder à la partie basse de la case. La couche 2 ayant été incomplètement dégagée, le bas de l’escalier se trouve encore enterré. La porte donnant sur l’escalier a été murée probablement à l’époque du remaniement du mur nord. 2. — Résultats : La case qui fait l’objet des recherches dans le sondage IV est intéressante à plus d’un titre. Malgré le peu de surface mise au jour, nous pouvons affirmer que des transformations importantes ont affecté une partie au moins de l’agglomération.
Des traces de réaménagement de l’espace sont apparues au niveau des seuils les plus anciens. Peut-être sommes-nous devant une réoccupation du site, plus intensive que celle qui précédait. L’an prochain, une extension des travaux permettra, du moins nous l’espérons, de confirmer ces suppositions. LE SONDAGE V : 1. — Situation et but de la fouille : Les éboulis du rempart ceinturant le castrum s’interrompent sans explication en bordure de l’ancien chemin venant de la Florieye. De ce fait apparaît au nord-ouest du village un espace vide de toute ruine. Etait ce un passage ? est-ce dû à la présence d’un four à chaux creusé tout près de là ? Dans le cadre de la première hypothèse, la découverte d’un ouvrage défensif protégeant le passage était plausible, surtout si l’on tenait compte de la miss au jour de deux éboulis orientés nord-sud pour l’un et est-ouest pour l’autre. C’est à leur jonction que fut placé le sondage V.
2. — Les murs : La fouille fit apparaître deux murs sous les éboulis. Le premier, monté avec des moellons de moyenne dimension et de gros blocs de grès, reposait sur le rocher et suivait la pente naturelle du terrain. Les moellors n’étaient liés à la chaux et vraiment bien appareillés que sur une portion du mur. vestige probable d’un premier état. Le.deuxième mur était moins bien conservé que le précédent et résultait, semblait-il, de l’existence de deux périodes bien distinctes de la vie du castrum. Tout d’abord, le mur qui était assis sur le rocher entaillé possédait trois marches qui rattrapaient le niveau initial. Dans un second temps, ces marches furent surmontées par un mur possédant un drain. 3. — Résultats : A. — Première période : Le mur 1 est construit. A l’est, le rocher est entaillé peur constituer un sol »; un escalier est édifié. La couche encore en place de cet état est tassée comme si elle avait fait partie d’un sol d’habitat. B. — Deuxième période : Après un abandon prolongé, on assiste à une réoccupation. A l’ouest du mur 1 une coulée argileuse s’est constituée tandis que le nettoyage d’une case voisine provoque un rejet de détritus. A l’est du mur 1, en vue de la construction d’un rempart, l’escalier et le sel du premier état sont noyés dans la masse du blocage. Un drain est ouvert dont l’emploi provoque l’apparition d’une couche de sable alluvionnaire peu tassé. La céramique du XIV » siècle y est abondante.
C. — Questions en suspens : Durant la première époque d’occupation, le mur 1 a-t-il été un mur maître sur lequel s’appuyait une case dont nous aurions découvert le sol et un escalier ? Un sondage ouvert au sud du mur 2 pourrait en apporter la preuve par la mise au jour d’une rue ou d’un seuil. Au cors de la deuxième époque, si l’édification d’un mur à la place de l’escalier se situe dans un contexte défensif, il reste à démontrer qu’il faisait partie de l’ensemble chargé de surveiller l’accès supposé du village. L’explication pourra sans doute nous être fournie par le dégagement des éboulis du mur 2 et par la recherche menée dans une zone située à l’ouest de la jonction des deux murs. CONCLUSION PROVISOIRE APRES UNE ANNEE DE TRAVAUX : La fouille de l’été 1977 a montré que le choix des lieux de sondages avait été judicieux. Les résultats, encore peu nombreux, ont permis de préciser des points de détail et apporté la preuve d’une réoccupation importante durant le XIV siècle.
Dès à présent, nous sommes assurés que le village primitif du XIIe siècle n’était pas ceinturé de remparts, mais qu’il possédait dans sa partie haute un ouvrage défensif en bel appareil. Une période de profond dépérissement semble succéder à cette première occupation. L’abandon est quasi total et le castrum tombe en ruines : effondrement en particulier de la case du sondage IV et de la voûte du sondage II. La céramique découverte nous conduit à placer cet abandon entre les années 1200 et 1320, au cours desquelles les murailles des forteresses provençales et des castra ne sont plus entretenues. Vers le milieu du XIV’ siècle — la date reste à découvrir dans les documents d’archives —, une nouvelle occupation du village a lieu. Les anciens emplacements sont réoccupés et modifiés en hâte : on supprime la case du sondage V lors de la construction d’un rempart englobant la totalité de l’habitat, certaines cases sont réduites (sondage IV) et les murs sont refaits avec maladresse parfois. Des portes sont murées (sondages II, IV et V). Ceci doit être mis en relation avec la nécessité du moment qui pousse les populations provençales à s’enfermer dans des murs. N’oublions pas que le village subit vers 1385 un siège dirigé par Raymond de Turenne, et qu’après une défense courageuse que la légende rapporte, le site est détruit. Curieusement la tour à bossages n’est pas touchée, ni la chapelle. RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES : 1. — Ce rapport a pu être établi grâce à la collaboration de MM. Mouron, Paquet, Ribot et Pasqualini pour le texte et les croquis, de M. Bon pour la photographie et de M. Reynier pour la recherche de documents d’archives. 2. — Quelques précisions sur les termes employés : — « castrum » : agglomération rurale médiévale possédant généralement une enceinte fortifiée et se divisant en partie haute et partie basse. Dans certains cas, seule la partie haute est fortifiée (castrum de SAINTE MADELEINE à LA MOLE), dans d’autres le castrum est entièrement ceinturé par une rempart (TARADEAU et SAINT THOME à NEOULES) — « case » : maison possédant une seule pièce.
— « fouille » : ensemble des travaux d’exhumation de vestiges conduits sur un site archéologique.
— « sondage » : unité autonome de recherche. L’ensemble des sondages forme l’essentiel d’une campagne de fouilles. — « sol » : niveau bien délimité sur lequel des traces d’utilisation sont visibles.
— « couche » : dépôt fermé par l’action des agents naturels ou par celle des hommes. Les couches s’ordonnent théoriquement de bas en haut au fil des âges.
— « surface » : partie superficielle d’une couche.
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